Appelée encore lipodystrophie, la cellulite combine deux phénomènes.
Le premier est l’œdème ou rétention d’eau, qui s’accumule dans le secteur extracellulaire des tissus graisseux : quand cet œdème prédomine, on parle de cellulite aqueuse ou cellulite œdémateuse.
Le second est le stockage accru de graisse dans les cellules du tissu graisseux : les adipocytes.
La cellulite se rencontre principalement chez la femme, pour des raisons hormonales.
Chez elle, le modèle gynoïde fait que les adipocytes sont plus nombreux dans les parties basses du corps, c’est donc là où l’on verra plus facilement la cellulite : hanches, cuisses, fesses, culotte de cheval…
Quand ce processus l’emporte, on parle de cellulite graisseuse.
Ces dépôts de graisse intra-cellulaires entourés d’eau extra-cellulaire donnent à la peau cet aspect en peau d’orange.
Dans les formes les plus graves, les cloisons graisseuses se fibrosent : les septa compriment l’excès graisseux, qui fait hernie hors de ces petites loges, donnant un aspect de capiton.
C’est parfois douloureux, car les tissus sont comprimés dans une loge fibreuse et donc rigide.
La mésothérapie proposée à la Clinique des Champs-Elysées à Lille est une technique réalisé par un médecin qui se résume en une formule : peu et près.
- Peu, car il injecte de toutes petites quantités de principes actifs ; près, car il les injecte directement à l’endroit où ils peuvent agir.
- Près, car les produits ne passant pas par voie générale, ils ne sont pas dégradés et leur effet est optimal avec une bio-disponibilité parfaite.